Le coeur supplicié, 2019
Fort d’une formation initiale d’architecte, le street-artist parisien Ardif explore les hybridations entre nature et machine. Il s’approprie le poème « Le Cœur supplicié » pour dévoiler la mécanique du cœur, entendu à la fois comme organe physique et siège des émotions, écartelé ici entre planches anatomiques et rouages industriels. Les éléments d’architecture dialoguent avec le pont ferroviaire et l’usine Deville, tout proches. D’ailleurs, saurez-vous retrouver les quatre monuments carolomacériens cachés dans l’illustration ?
21 rue Louis Fraison